Top 5 des raisons d’assurer au plus vite son jeune cheval
L’achat d’un jeune cheval est un moment important pour le cavalier, tant sur le plan émotionnel que sur le plan financier ! Pourtant, parmi toutes les dépenses engagées au moment de l’achat, l’une d’entre elles est trop souvent omise : la souscription d’une assurance pour votre jeune cheval ! Faisons le tour des avantages d’assurer votre jeune cheval au plus vite.
Cet article est sponsorisé par Cavalassur.
💡 Pour tout savoir sur l’assurance : 8 choses à savoir avant de prendre une assurance pour son cheval
Table des matières
- #1 – Assurer tôt son jeune cheval permet de ne jamais avoir à se poser la question “Ai-je les moyens de le faire soigner ?”
- #2 – Mieux vaut assurer son cheval avant qu’il ne déclare une pathologie
- #3 – La compétition augmente le risque de blessure. Mieux vaut avoir assuré son jeune cheval avant qu’il ne démarre les concours
- #4 – Si on assure son cheval trop tard, toutes les garanties ne sont plus disponibles
- #5 – Acheter un jeune cheval, c’est prendre un risque. L’assurer c’est réduire ce risque.
- Combien ça coûte de faire assurer son cheval ?
#1 – Assurer tôt son jeune cheval permet de ne jamais avoir à se poser la question “Ai-je les moyens de le faire soigner ?”
En tant que propriétaire, nous ne souhaitons pas avoir à prendre la décision de ne pas faire soigner son cheval pour des raisons financières. Pourtant, certains soins très couteux peuvent nous imposer ce questionnement.
Prenons l’exemple des chirurgies de coliques. Tous les chevaux peuvent être concernés, même ceux qui vivent au pré ! Pourtant, ces chirurgies sont couteuses et engendrent des soins importants pendant une longue période. Leur coût s’élèvent en moyenne à 5000€, auxquels on peut ajouter les soins qui suivront … Sans assurance, il est compréhensible que les propriétaires étudient les aspects financiers avant de valider les soins. Cette opération conduit le plus souvent à un rétablissement total, même pour les chevaux de compétition qui peuvent alors reprendre leur activité.
Seulement, si on souscrit à une assurance pour son cheval, ces frais vétérinaires – ainsi que les frais liés à d’éventuelles complications – peuvent être pris en charge par Cavalassur à 100% jusqu’à une limite de 4000€ pour les frais généraux. Le plafond est porté à 5000€ pour les chirurgies de colique, et même 10000€ en formule Carat. Ainsi, la question de procéder ou non aux soins en question ne se pose plus !
De la même manière, la plupart des soins qui sont relatifs à la pathologie ou au sinistre (l’ostéopathie par exemple) seront pris en charge par la suite. Découvrez le tableau comparatif des prises en charges de frais vétérinaires de Cavalassur en cliquant sur le bouton ci-dessous :
Ne pas assurer son jeune cheval assez tôt vous expose au risque que votre cheval ait un accident ou déclare une pathologie, et que celle-ci ne puisse donc pas être prise en charge par l’assurance. Cela nous amène donc à notre raison #2 d’assurer son jeune cheval au moment de l’achat :
#2 – Mieux vaut assurer son cheval avant qu’il ne déclare une pathologie
Les pathologies du cheval peuvent apparaître tôt. L’emphysème ou l’arthrose peuvent survenir chez des chevaux peu âgés. Malheureusement, ces pathologies entraînent des frais réguliers tout au long de la carrière sportive, voire de la vie du cheval.
Regardons plus en détail l’exemple de la tendinite qui peut survenir chez des chevaux très jeunes. Les frais relatifs à une telle pathologie peuvent vite s’accumuler et représenter des sommes importantes. Et cela sans compter le risque de récidive élevé.
La tendinite est prise en charge dans la majorité des formules de Cavalassur. Pour autant, l’assurance, quelle qu’elle soit, ne pourra pas indemniser une récidive ou les suites d’une tendinite qui aurait déjà affecté le cheval concerné avant la souscription du contrat. C’est en effet contraire au code des assurances. Dès lors que le cheval a déjà eu un souci de santé, celui-ci sera automatiquement exclu des prises en charge ultérieures.
Assurer un cheval en bonne santé, c’est pouvoir couvrir les aléas qu’on rencontrera au niveau de sa santé. Mieux vaut donc ne pas trop tarder à franchir le cap de l’assurance !
#3 – La compétition augmente le risque de blessure. Mieux vaut avoir assuré son jeune cheval avant qu’il ne démarre les concours
Entre le transport, les paddocks bondés et la présence de chevaux « mal aimables », les sols parfois irréguliers, les concours sont potentiellement sources de blessures. Ainsi, si vous destinez votre jeune cheval à de la compétition, quel que soit le niveau visé, l’assurance Cavalassur vous aidera à vivre ce moment de manière plus sereine. En effet, les frais vétérinaires liés à une blessure (plaie, fracture…) qui surviendrait en compétition seront pris en charge comme expliqué plus haut.
Si seul le transport vous inquiète, la garantie « Cheval transporté » couvre l’essentiel des dommages subis par les chevaux au cours du transport. Cela peut être une blessure, un accident, l’invalidité… Sachez par ailleurs que si votre cheval est déjà assuré en frais vétérinaires, le transport est inclus, au titre des accidents, dans ces derniers.
Enfin, la Responsabilité Civile vous permet également de vous protéger si votre cheval cause un dommage à un tiers. En effet, si votre cheval blesse une personne, un cheval ou abîme un véhicule, les personnes concernées peuvent se retourner contre vous et exiger un dédommagement. La Responsabilité Civile de Cavalassur permet une indemnisation de la victime dans ce cas.
#4 – Si on assure son cheval trop tard, toutes les garanties ne sont plus disponibles
Vous pouvez adhérer à la plupart des formules jusqu’aux 22 ans du cheval. Néanmoins, la formule la plus complète ne peut être prise que jusqu’aux 15 ans du cheval. Cette limite s’abaisse à 13 ans pour les garanties d’invalidité. Pour rappel, l’option « invalidité » protège votre investissement si votre cheval ne peut plus remplir la mission à laquelle il était destiné. Cela permet donc d’obtenir une garantie dans le cas où votre cheval serait mis précocement à la retraite ou à la reproduction suite à un accident ou une maladie.
#5 – Acheter un jeune cheval, c’est prendre un risque. L’assurer c’est réduire ce risque.
Tant sur les plans de la santé ou du caractère, acheter un jeune cheval, c’est prendre un risque. Celui-ci peut s’avérer payant et l’histoire sera magnifique. Toutefois, il peut arriver qu’un petit accident bouleverse tout. Assurer son jeune cheval permet de limiter les risques pris et de se protéger de dépenses imprévues. Les assurances comme Cavalassur peuvent d’ailleurs assurer les poulains dès l’âge d’1 mois.
Enfin, c’est bien entendu un cas que l’on ne souhaite à personne, mais dans le cas du décès du cheval, la garantie mortalité permet au propriétaire d’obtenir un remboursement de la valeur de l’équidé. Cela est valable en cas de décès accidentel, de décès suite à une maladie, mais également si votre cheval doit être euthanasié d’urgence.
Cette valeur peut être revue régulièrement en fonction des performances du cheval concerné. Par exemple, si votre poulain se classe dans les modèle et allures, ou encore montre de belles qualités lors de ses premiers sauts, il peut être intéressant de revoir sa valeur à la hausse.
Combien ça coûte de faire assurer son cheval ?
Le tarif mensuel d’une assurance pour chevaux varie selon plusieurs critères :
- Ce qu’on souhaite prendre comme niveau de remboursement. En effet, si on veut que l’assurance prenne tout en charge, ça coûte plus cher tous les mois.
- L’âge du cheval
- Sa valeur
- Son utilisation
Le plus simple reste de faire un devis en ligne. C’est gratuit et ça ne prend que quelques minutes. Par ailleurs, cela vous permettra d’avoir un montant qui reflète vraiment vos besoins. Cliquez ci-dessous pour faire un devis en ligne :
A bientôt pour un prochain article,
Camille Saute
Cofondatrice d’Equisense
Ingénieure en biomécanique et biomédical